C’est en écoutant télé matin, que j’ai découvert Hoi An, la journaliste décrivait alors,une ville agréable, et remplie de richesses du passée.
Située dans la province de Quảng Nam, à trente kilomètres au sud de Đà Nẵng, sur la rivière Thu Bồn. Elle compte environ 120 000 habitants. La vieille ville de Hội An est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO. Jadis, Hội An était appelée Faifo en français, nom d'usage officiel pendant la période coloniale.
Hội An était une ville prospère, située sur les routes maritimes du commerce de la soie. Elle connut une expansion à partir du XVe siècle, les riches marchands y installèrent des comptoirs et construisirent de grandes et solides maisons en bois. Suite à l'ensablement de la rivière, l'activité du port a décliné au profit de celui de Đà Nẵng. Il n'est plus fréquenté que par des sampans. C’est aussi pour cette raison, que la ville a été épargnée par l’occupation américaine. C’est la encore Đà Nẵng qui a tout pris.
Toujours accompagné de mon fidèle Sokha, j’ai passé deux jours très reposants, dans ce cadre vraiment très calme, où le temps semble être arrêté. Tout d’abord l’impression d’un décor planté et désert s’impose, et finalement la vie des locaux prend toute sa place avec ses senteurs, ses couleurs et toutes sortes de bruits, échanges verbaux sonores, klaxons de mobylettes, cris d’enfants… Ca grouille.
J’ai trouvé sur internet un hôtel pas trop cher. Pour ceux que cela intéresse il s’agit du site agoda.
Encore merci à Chong de m’avoir si gentiment indiqué ce site.
Bienvenue au Poh Hoi Resort !
Parmi les fleurs il surgit !
Les maisons aux façades colorées de jaune et aux volets turquoises qui se reflètent dans la rivière, le trafic des sampans, son marché riche aux mille produits, parfums et saveurs sont autant d'images typiques de Hoï An.
Hanoï est une ville très touristique, mais saison oblige, il y avait peu de monde lors de notre passage, même notre hôtel était peu fréquenté. Alors nous avons pu déambuler librement dans ces petites ruelles si paisibles (beaucoup sont fermées à la circulation).
Le spectacle est encore plus quand lorsque les lampions illuminent la ville.
Hoï An est une ville réputée aussi pour être le berceau de la fabrication de ces fameux lampions qui ornent toutes les maisons du Vietnam.
L'un des monument les plus intéressant est le pont-pagode japonais (Chùa Cầu), un pont couvert construit en 1593 pour relier les quartiers habités par les communautés chinoises etjaponaises. Chaque extrémité est gardée par un couple de statues, figurant des chiens d'un côté et des singes de l'autre.
Le pont est une des attraction touristique majeure de la ville, toute la journée s’y succèdent et s’y agglutinent nombre de touristes mais aussi bouddhistes et superstitieux, car le petit temple accolé au pont fait de nombreux émules.
Moi j’ai essayé, de me faire prendre en photo devant ce fameux pont , mais toujours un monde fou. enfin….J’y étais !
Quoi d’autre à Hanoï ? après une bonne sieste, nous avons décidé de louer un scooter pour 5 dollars la journée, casque fourni.
Très facile ! Bien sûr c’est Sokha qui conduit, moi je nous aurais mis dans le fossé, d’autant que les vietnamiens conduisent comme des dingues, et le doigt toujours sur le klaxon, à celui qui sera plu fort que les autres. Les passages piétons, n’existent que pour les peintres qui les ont mis en place. Aucune règle de priorité ne semble exister.
Mais revenons à la plage : Un vent de folie, les cocotiers on failli se déraciner, on n’a pas pu se baigner, juste quelque photos, d’une très grande plage sur la quelle nous nous serions bien posés.
Petite vues sur le retour, 5km entre le centre de Hoï An et la plage.
Beaucoup de maison et de temples chinois, car la ville était surtout gérée au 18è et 19è par les commerçants chinois.
Nous avons visité plusieurs habitations traditionnelles, ou la ventilation naturelle est particulièrement efficace.
N’ai je pas un petit air princier sur la photo ci dessous ?
Sur les bords de la rivière joli motifs d’animaux, pas mal le jour, étonnants “by night”.
Nous ne nous privons, jamais d’une pause : cette fois, brochettes de bœuf, et herbes fraiches roulées dans galettes de riz !! Excellent !!
La tortue, symbole de longévité.
Un temple d’influence chinoise. C’est dingue on se croirait en chine !
Les serpentins : c’est de l’encens, et les petits cartons accrochés, des prières qui sans doute seront exaucées lorsque l'e serpentin sera consumé. C’est comme les cierges à Lourdes sauf que ça salit moins que la cire, et en plus, ça sent bon ! Enfin quand il y en a trop ça peut faire tousser aussi !
Votre narrateur, aime bien poser assis.
Un bassin avec de très jolis poissons !
Sur cette image, le niveau des différentes crues a été noté par le propriétaire.
Un temple d’influence chinoise… Qu’en pensez vous ?
J’ai un petit faible pour ces carreaux – ciment, typiques de l’époque coloniale et très répandus au début du 20è.
Alors pourquoi un cheval dans ce temple, je n’en sais toujours rien , c’est pas présenté exactement comme ça dans la brochure où il est question d’assemblée, lui de rassemblement et d’échange pour les riches chinois de la ville.
Un vieux monsieur qui servait des desserts traditionnels. Je n’ai pas gouté, j’avais peur de ne pas digérer.
Puis nous avons repris le train direction Hanoï. Ne me demandez pas si c’était bien, pour certains paysages oui. Pas pour la population locale sur laquelle je m’abstiendrai de tout commentaire ici. J’ai quand même fait une jolie photo !
Je vous rappelle que je suis l’auteur de 99,5% des images.
Vous suivez mes déplacement en léger différé car je suis en ce moment dans la Baie d’Halong. Désolé. Donc, de belles images à venir encore. Je vous dis à bientôt.
Parce qu’il me le demande depuis longtemps, une grosse bise à mon ami Dominique, de Paris, qui est né le 12 mai et qui est d’origine russe et fan de Sheila. C’est super ! chez Dominique à Paris. Dans le 2ème, c’est un garçon formidable et très généreux, qui j’espère m’accompagnera un jour dans mes tribulations.
A suivre…
